LE BOULEVARD PERIPHERIQUE
Le narrateur (Henry Bauchau ?) nous raconte ses visites à sa belle-fille mourante tout en évoquant le souvenir qu’il a d’un ami, résistant durant la deuxième guerre mondiale puis capturé par l’énigmatique et tortionnaire Shadow et mort dans des circonstances qu’il aimerait connaître, ami avec lequel il a pratiqué l’escalade.
Le narrateur évoque la mort, l’espérance, la vie dans une histoire CAPTIVANTE dès l’incipit, sous une plume très…..légère, aérée, douce : on ne lâche plus le livre, l’écriture est très fluide (contrairement au périph’) ; à la fin on regrette que ce soit déjà fini.
La phrase du roman : « (…), ils me forcent à comprendre qu’elle était, qu’elle est un être merveilleusement éveillé à sa condition mortelle. »
LE BOULEVARD PERIPHERIQUE de Henry BAUCHAU, éditions : BABEL, 257p